Théorie première de l’origine des Molosses
Les Chaones ou Chaonides furent les premiers à s’y
établir au nord; les Thesprôtes et les Molosses vinrent plus tard, les
premiers occupèrent la zone côtière et les Molosses, l'intérieur des terres,
autour du bassin de Ioanina, de la ville de Passaron et du sanctuaire de Dodone
où officiait Olympias, mère d’Alexandre le Grand, comme prêtresse de Zeus avant
de se marier avec Philippe II de Macédoine.
Les
Molosses, sont venus du nord pendant la Civilisation mycéenne, aux environs de
800 à 600 av. J.-C. Certaines sources citent l’Illyrie, une région
historique des côtes de la rive orientale de l'Adriatique, correspondant à peu
près à l'ouest de la Croatie, de la Slovénie, de la Bosnie-Herzégovine, du
Montenegro, de l'Albanie et du Kosovo actuelles.
Admète est le premier roi des Molosses d'Épire de 470 à
430 av. J.-C.
Dès 330 av. J.-C., les Molosses et les Thesprôtes se
réunissent au sein d'un même état. Le cinquième roi, de 342 à 331 av. J.-C. s’appelait
Alexandre Ier le Molosse (362-331 av. J.-C.), neveu de Arymbas, fils
de Néoptolème Ier. Il monte sur le trône d'Épire grâce au soutien de
Philippe II de Macédoine (382-336 av. J.-C.), son beau-frère, marié à sa sœur
Olympias (375-316 av. J.-C.). À cette époque ou juste après, les Molosses et
les Thesprôtes se réunissent au sein d’un même état.
Pyrrhus Ier (318-272 av. J.-C.), devient roi des Molosses
d'Épire entre 307 et 302 av. J.-C. Il
est le fils d’Éacide et de Phtia de Pharsale. Il monte sur le trône avec le
soutien de Glaucias, roi d'Illyrie, après l'assassinat d'Alcétas.
Après le
troisième règne de Néoptolème II, qui avait chassé Pyrrhus du trône, celui-ci
reprend les règnes du pouvoir entre 297 et 272 av. J.-C. et monte aussi sur le
trône de Macédonie. Sous le règne de Pyrrhus, les Chaones entrent dans l'État
épirote, fondant ainsi le royaume puissant des Éacides.
Selon la mythologie grecque, les Molosses descendent de Molossos,
l’un des trois fils de Néoptolème (le fils d’Achille et de Déidamie) et
d’Andromaque et arrière-petit-fils d'Éaque, fils de Zeus et roi d'Égine, d’où
le nom « Molosses » qu’on leur a donné. Après la chute de Troie, Néoptolème et ses
armées s’établissent en Épire où ils se mêlent à la population dorienne locale
et repoussent les tribus barbares vers le Nord. Le roi Molossos hérite du
royaume d’Épire à la mort d’Hélénos, le fils de Priam et d’Hécube de Troie.
Le premier
Éacide est Pélée, fils d'Éaque et de la nymphe Endéis. Néanmoins, le personnage
auquel on fait le plus souvent référence sous ce nom est Achille, fils de
Pélée, roi de Phthie en Thessalie, et de Thétis, une Néréide (nymphe marine).
Il est fréquemment appelé « Péléide » ou « Éacide », épithètes qui rappellent
son ascendance. Les Molosses se prétendaient fils d’Éaque, d’Achille l’Éacide,
d’où la dynastie des Éacides.
Mais ceci
est du domaine de la mythologie ! Molossos, fils de Néoptolème n’a jamais
existé ! D’où vient son nom ? Il n’y a que le roi Alexandre Ier
qui s’est autoproclamé Alexandre Ier le Molosse ! Ainsi, lorsqu’un
auteur cite Admète comme premier roi des Molosses, les Molosses existaient-ils
déjà ? Cette tribu venant d’ailleurs s’appelait-elle déjà les Molosses ou
se donne-t-elle son nom plus tard ? Le fait-elle avant ou après avoir
envahie l’Épire ? Le fait-elle que plus tard, lors de la royauté
d’Alexandre Ier le Molosse ou celui-ci prend-il l’épithète de
« Molosse » parce que son peuple s’appelle déjà les Molosses ?
Les Molosses
étaient réputés pour leurs chiens de combat que les bergers utilisaient pour
garder leurs troupeaux, comme l’atteste Virgile dans ses Géorgiques. Il nous raconte que les Grecs et plus tard les Romains
utilisaient de lourds molosses à la chasse (canis
venaticus, « chien de chasse ») et pour garder leurs troupeaux et
propriétés (canis pastoralis,
« chien pastoral, chien de berger »). Ce sont les Romains qui vont
introduire les molosses en Britannie, l’actuelle Grande-Bretagne, e.a. pour
garder le Mur d’Hadrien et qui vont donner naissance aux Pugnaces Britanniae, chiens de combat britanniques, dont sont issus
l’English Mastiff et les Bulldogs.
Qui a appelé
ces énormes chiens « molosses » ? Mystère. Pourquoi les
avoir appelés ainsi ? Parce qu’ils ont été vus pour la première fois dans le
pays des Molosses ? Ce serait étonnant, car il y avait avant eux les Alans
et aussi les grands chiens du Caucase et du Tibet, dont le Dogue de Tibet
encore présent actuellement. Les Molosses ont-ils apportés avec eux des grands
chiens d’Asie Centrale ou de plus loin ?
Les Anglais,
eux, ont tranché le sujet. Pour eux, le Molossus est une race de molosse éteinte, ancêtre probable des molosses actuels.
Point. Pour eux, il y avait une race, Molossus. Comprenne qui pourra, car molossus, n’est que la traduction latine
du grec molossos et il ne s’agissait
certainement pas d’une « race », mais bien de bâtards d’aspect plus
ou moins homogène.
Théorie seconde de l’origine des Molosses
Le
périple des Alains dans le contexte des Grandes migrations en Europe, annonçant
le Haut Moyen Âge, est un des trajets les plus étendus : en rouge, figurent les
migrations ; en orange, les expéditions militaires ; et en jaune, les
tentatives de sédentarisation.
Tournons-nous maintenant vers les Alains, un peuple
scythique, des Scythes. Les Scythes sont un ensemble de peuples eurasiens
nomades parlant des langues iraniennes appartenant à la famille des langues
indo-européennes. Originaires d'Asie centrale ils ont vécu leur apogée entre le
VIIe et le IIe siècle av. J.-C. dans les steppes
eurasiennes, une vaste zone allant de l'Ukraine à l'Altaï, en passant par la
Russie et le Kazakhstan. À l’origine, les Alains apparaissent aux abords de l'actuel
Iran, où leurs incursions sont l’une des causes de la chute des Parthes. Les
Sassanides qui leur succèdent établissent en 226 un empire durable, refoulant
les Alains aux confins du Don, de l’Oural et du Caucase, où ils fondent alors
un semblant de royaume éphémère.
Les Alains étaient réputés être de superbes guerriers,
des bergers et des éleveurs de chevaux et de chiens. Ils élevaient leurs chiens
comme chiens de travail et développaient différentes lignées en fonction de
leur utilité.
Leur chien, l’Alan, aurait existé en Asie centrale et en
Europe depuis environ 1.200 (?) avant J.-C. jusqu’au XVIIe s. Un
groupe d’Alains serait arrivé dans ce qui est l’Albanie actuelle au Ve
ou VIe s. avant J.-C. avec leurs chiens. Dès lors, ces chiens
auraient fort bien pu donner les chiens molosses des ethnies grecques locales.
Les Alains vont donner des guerriers, des cavaliers, aux Romains qui vont envahir
la Britannie en 55 av. J.-C. ; les Romains emmèneront leurs molosses avec
eux. Il aurait ressemblé au Chien de berger caucasien ou Berger du Caucase
actuel. Peu typé « mastiff », sa gueule était plutôt longue et le
poil long, parfois blanc. Tout comme son descendant, le Berger de Caucase, dont
on distingue trois types, l’Alan va se diversifier au gré des croisements dû
aux migrations des Alains.
Dans les années 370/375, date des « Grandes
Invasions », les Huns divisent les Alains en deux groupes, ceux de l’Est
et ceux de l’Ouest. Ceux de l’Est s’unirent avec certains peuples de l’actuelle
Georgie, les Ossétiens et avec d’autres ethnies, introduisant du sang de leurs
chiens dans celui de plusieurs races existantes, telles que le Shar Mountain
Dog, le Metchkar, le Qen Ghedje, l’Hellenikos Pimenikos et d’autres Molosses des
régions avoisinantes (venant d'où?). Les Alans blancs seraient à l’origine des races blanches
des Balcans.
Les Alains de l’Ouest s’unirent avec les Vandales, semant
la terreur dans toute l’Europe et emmenant avec eux leurs chiens-guerriers en Europe
centrale, jusqu’en Espagne, au Portugal, en Angleterre et en Afrique du Nord où
ils furent croisés avec des chiens courants et des lévriers, donnant ainsi
naissance à différentes variétés, élevées en fonction de leur utilité sur le
terrain, soit comme chien de chasse, soit comme chien de berger ou encore comme
chien de combat. Dans les années 1.500, les Alans d’Espagne étaient réputés et
ont été emmenés à la conquête du Nouveau Monde. On retrouve les Alains et leurs
chiens jusqu’en Chine et en Mongolie.
En France et
dans les pays limitrophes, il existait trois types d’Alans, basé sur leur
apparence physique et sur leur utilité. Le type le plus léger était appelé Alan
Gentil. Il ressemblait à un Greyhound. Il se confondit dans le temps avec la
race locale de chiens de chasse, l’Alan Vautre. Le type mastiff, connu sous le
nom d’Alan de Boucherie ou Alan Vilain, donna naissance aux chiens de berger de
type Bulldog, aussi bien en France, qu’en Angleterre (Alaunt Butchers), qu’en Espagne et qu’en Italie (Alano). En Espagne,
les trois types étaient les Mastiffs, les Alanos et les Lebrels. Ces derniers avaient
deux variétés : le ayuda (aider),
chien de défense et le presa (prise,
saisie, capture), chien offensif, comme le Presa Canario, le Fila
Brasileiro et le Mastiff cubain.
Qui des
deux, des Molosses de Molossie ou des Alans d’Asie Centrale est l’ancêtre des
Molosses actuels ? Probablement les deux. Chronologiquement, les Alans
précèdent les Molosses et seraient pour une partie ou entièrement les ancêtres
des Molosses. Et que dire du Dogue du Tibet, dont l’existence remonterait à
58.000 années (?) et dont on dit qu’il est à l’origine de tous les Molosses et chiens
de montagne ? Quoi qu’il en soit, nos chiens actuels s’appellent bien
« molosses » et non « alans » ou « asiens, tibétains,
… ».
Il se serait
croisé avec des chiens locaux … dont l’Hellinikos Poimenikos … Voilà encore une
affirmation ambigüe, car lorsque l’on lit la description du Chien de berger
grec il y est dit : « descendrait en droite ligne des chiens molosses antiques
».
Aujourd’hui,
des amateurs enthousiastes essaient de développer de nouvelles races sur base
d’anciennes lignées d’Alans, comme le New Alan (Nouvel Alan), Antebellum
Bulldog ou Altamaha Plantation Dog, Dogo Belgrado, Abraxas bulldog et l’Alan
américain. Où sont-ils allés les chercher ? Chez l’Alan d’Espagne ?
Théorie troisième de l’origine des Molosses
Il y a une théorie qui prétend que le Mastiff tibétain
est l’ancêtre de toutes les races molossoïdes, mais cette théorie est très
discutée par les experts. Elle est basée sur une étude conduite par le
Laboratoire de Génétique et d’Évolution Moléculaire de l’Université de Nanjing
en Chine. L’étude de l’ADN mitochondrial chez le chien a permis de démontrer
que la plupart des races divergent génétiquement de celle du loup il y a
environ 11.000 à 32.000 années. Les chercheurs de l’Université auraient
démontré que le Mastiff tibétain devient une race séparée de celle du loup il y
a 58.000 années.
Selon certains, l’appellation « Mastiff
tibétain » serait erronée. Le terme « mastiff » aurait été
employé par les visiteurs de l’Ouest (Anglais ?) pour désigner « un
grand chien du Tibet ». De même le Terrier tibétain n’est pas un terrier
et l’Épagneul tibétain n’est pas un épagneul. Les Anglais appellent cette race Tibetan mastiff, alors que les
francophones l’appellent le Dogue du Tibet ou le Mastiff du Tibet. Cette
dernière appellation probablement par traduction de l’anglais. Selon eux, il
faudrait dire « Chien de montagne du Tibet », ce qui à mon avis est
tout à fait justifié.
Le Mastiff
tibétain est appelé Dok-Khyi, ce qui se traduit par « chien nomade »,
« chien qui peut être attaché » ou encore « chien qui peut être
gardé », noms qui reflètent son usage comme chien de berger, chien de
garde des tentes, villages, monastères et palaces, à l’image du Bandog anglais,
qui signifie « chien attaché ». Au Népal, le chien de garde est appelé
Bhote-Kukur, ce qui signifie « quelqu’un du Tibet-chien ». En chinois
mandarin il s’appelle Zàng áo et en cantonais Tzong ngou, signifiant
« chien mastiff ». En Mongolie il est appelé Bankhar.
Les études chinoises étant mis en doute, les scientifiques prétendent que des traces possibles de son existence remonteraient à plus de
trois mille ans. Une description a été faite environ 350 ans av. J.-C. par
Aristote, puis par Marco Polo vers 1270. Des chiens du Tibet auraient été
donnés à Alexandre le Grand, qui étendra ses conquêtes jusqu’à la rive de
l’Indus en Inde. Il leur aurait fait combattre des fauves dans l’arène. Il est
également donné comme ancêtre probable des chiens utilisés par les légions
romaines, dont les caractéristiques se sont diffusées à travers l'Europe. Par
cet intermédiaire ou non, certains affirment qu'il est à l'origine de tous les
molosses et chiens de montagne. Ce n’est qu’au XIXe s. que l’espèce
d’origine, non croisée, a été importée en Europe.
Voici la classification des molossoïdes de la FCI
FCI GROUPE 2, SECTION 2 |
|
1.
Italie :
|
Cane Corso Italiano (Chien de cour italien ou de la cohorte romaine), cousin du
Mâtin de Naples
|
2.1
Molossoïdes de type dogue
|
|
Allemagne
|
Deutscher Boxer (Boxer allemand)
Deutsche Dogge (Dogue allemand)
Rottweiler
|
Argentine
|
Dogo Argentino (Dogue argentin)
|
Brésil
|
Fila Brasileiro (Mastiff brésilien)
|
Chine
|
Shar Pei
|
Danemark
|
Broholmer
|
Espagne
|
Perro Dogo Mallorquín (Dogue de Majorque)
Dogo Canario (Dogue des Canaries)
|
France
|
Dogue de Bordeaux
|
Grande-Bretagne
|
Bulldog
Bullmastiff
Mastiff (Old English Mastiff)
|
Italie
|
Mastino Napoletano (Mâtin de Naples)
|
Japon
|
Tosa Inu (Mastiff koréen)
|
Portugal
|
Cão Fila de São Miguel (Fila de Saint Miguel)
|
2.2
Molossoïdes de type montagne
|
|
Allemagne
|
Leonberger (Chien de Leonberg)
Hovawart
|
Allemagne, Suisse
|
Landseer (Type continental-européen)
|
Canada
|
Newfoundland (Chien de Terre-Neuve)
|
Espagne
|
Mastin del Pirineo (Mâtin des Pyrénées)
Mastin Español (Mâtin espagnol)
|
France
|
Chien de montagne des Pyrénées
|
Macédoine, Serbie
|
Chien de berger de Charplanina
|
Maroc
|
Aïdi (Chien de montagne de l’Atlas)
|
Portugal
|
Cão de Castro Laboreiro (Chien de Castro Laboreiro)
Cão da Serra da Estrela (Chien de la Serra da Estrela)
Rafeiro do Alentejo (Rafeiro de l’Alentejo)
|
Russie
|
Berger d'Asie centrale (Sredneasiatskaïa Ovtcharka)
Berger du Caucase (Kavkazskaïa Ovtcharka) ou Tarti
(voir ci-dessous)
|
Slovénie
|
Kraski Ovcar (Berger du Karst)
|
Suisse
|
Chien du Mont Saint-Bernard
|
Tibet
|
Dogue du Tibet ou Mastiff du Tibet, Do-khyi
|
Turkie
|
Coban Köpegi (Chien de berger d’Anatolie / voir aussi
ci-dessous)
|
FCI GROUPE 2, SECTION 3 |
|
Chien de montagne et bouvier suisses
|
Grand bouvier suisse (en allemand Grosser Schweizer
Sennenhund)
Bouvier de Bern (Berner Sennenhund)
Bouvier Appenzeller (Appenzeller Sennenhund)
Bouvier Entlebucher (Entlebucher Sennenhund)
|
Races non reconnues (NR), reconnues provisoirement (RP) ou éteintes (E) |
|
Alan (E)
Alano Español (Alan d’Espagne ou Bulldog espagnol) (NR)
Bandog ou Bandogge (NR)
Berger bulgare ou berger karakachan (NR)
Berger de Bosnie-Herzégovine et de Croatie ou Tornjak (RP)
Berger des Tatras (Polski Owczarek Podhalanski) (NR)
|
|
Berger du Caucase
de type montagne : grands chiens : chiens des
montagnes du Dagestan et chiens des montagnes de Georgie / chiens moyens :
chiens Karagash et chiens Karst
des plaines : chien arménien Gampr et chiens
d’Azerbaijan
|
|
Boerboel (NR)
|
|
Bulldog américain (NR)
|
|
Bullenbeiser (E)
|
|
Bully Kutta ou Mastiff pakistanais ou Bully ou Mastiff
Alangu indien (NR)
|
|
Cão de fila da Terceira, Mastiff de Terceira Mastiff ou
Rabo Torto (NR)
|
|
Catahoula bulldog (NR)
|
|
Catahoula cur (NR)
|
|
Chien de berger afghan, Sage Kuchi, Sage Jangi, Kuchi
(aussi Coochi et Koochee en Anglais) ou enore De Kochyano Spai et Jangi Spai
|
|
Chien de berger d’Anatolie, variétés nommées Kangal et
Akbash (NR)
|
|
Chien de berger de l’Himalaya ou Bhote Kukur
|
|
Chien de berger Kinnaur ou Mastiff barbu tibétain ou Apso
Do-Kyi
|
|
Chien de garde russe (Moskovskaya Storozhevaya Sobaka, Moscow
Watchdog)
|
|
Cimarron uruguayen (NR)
|
|
Dogue de Cuba (NR)
|
|
Dogue du Guatemala (NR)
|
|
Dogue de Sardaigne, dogo sardo (jàgaru, trighinu et
cani pertiatzu) (NR)
|
|
Mastiff de Puerto Rico, Gran Mastín de Borinquen,
Mastín Borincano, Becerillo de Borinquen et Perro Barsino de Hacienda
|
|
Mastiff alpin (E) (et le Cane Garouf ou Patua =
Mastiffs des montagnes italiennes)
|
|
Mâtin belge (E)
|
|
Mâtin italien (NR)
|
|
Mâtin sicilien ou Cane di Mannara (NR)
|
|
Races américaines créées récemment et certaines races peu ou pas décrites |
|
Aksaray Malaklisi Dog (Aksaray Malaklısı)
|
|
Alapaha Blue Blood Bulldog
|
|
American Bulldog
|
|
American Bull Molosser
|
|
American Mastiff
|
|
American Pit Bull Terrier
|
|
Brazilian Bullmastiff
|
|
Bucciriscu Calabrese
|
|
Cão de Gado Transmontano (Portuguese Mountain Cattle
Dog)
|
|
Dosa Inu (Korean Mastiff)
|
|
Giant Maso Mastiff
|
|
Gull Dong
|
|
Gull Terr
|
|
Himalayan Sheepdog
|
|
Old Roman Bulldog
|
|
Olde Boston Bulldogge
Olde English Bulldogge
|
|
Vucciriscu
|
|
Xochaso
|
|
Certaines races avec l’appellation « mastiff,
mâtin » ne le sont pas, comme p.ex.le Mastino abruzzese (Abruzzese Mastiff, Pastore
abruzzese), dont on connait 5 variétés et qui sont des chiens de berger au
même titre que le Berger de Maremme et Abruzzes ou cane da pastore
Maremmano-Abruzzese
| |
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